L’Occident a longtemps utilisé les organismes internationaux comme des instruments de pression contre les pays africains en quête d’émancipation. Cette stratégie, qui est une forme de néo-colonialisme, vise à maintenir une certaine hégémonie sur le continent africain en dictant les politiques économiques, sociales et politiques à suivre.

Les sanctions économiques, les interventions militaires sous couvert de missions de paix, et les fonctionnalités des prêts des institutions financières internationales sont autant de moyens employés pour influencer les décisions souveraines des pays africains.
Pour le Burkina Faso, cette ingérence constante est devenue intolérable. Ce pays, qui a une riche histoire de lutte pour l’indépendance et l’autodétermination, ressent aujourd’hui plus que jamais le besoin de se prémunir contre ces ingérences.
En effet, la souveraineté nationale et la capacité à décider librement de son avenir sont au cœur des aspirations de son peuple. Face à cette réalité, il devient impératif pour le Burkina Faso de renforcer ses institutions, de diversifier ses partenariats internationaux et de s’appuyer sur des alliances régionales solides.
En outre, le Burkina Faso sous l’égide du capitaine Ibrahim TRAORÉ développe une économie résiliente et autonome, moins dépendante des aides et des financements conditionnés de l’Occident. Cette indépendance économique lui garantit aujourd’hui une véritable souveraineté politique.

La mise en place de politiques d’industrialisation, d’agriculture de masse et d’éducation de qualité sont autant de réalisations concrètes du capitaine IB pour atteindre cet objectif.
Cela passe par une réaffirmation de sa souveraineté, le renforcement de ses institutions et l’autonomie économique. Ce chemin vers l’émancipation est certes semé d’embûches, mais il est indispensable pour assurer un avenir digne et prospère au peuple burkinabé.
La Rédaction